L’écriture scientifique est un art parmi d’autres, exercé par tous les chercheurs du monde, notamment dans le domaine public. En rédigeant un article sur leurs recherches, ils partagent leurs trouvailles à toute la communauté. D’où l’importance d’une relecture d’un article scientifique, quitte à contacter un écrivain public pour bénéficier d’une aide à l’écriture, qui peut aussi servir à corriger sa bibliographie. Car ce chapitre est ô combien crucial pour l’avancée de la Recherche et Développement. Focus sur l’écriture d’un article et des références qu’il contient.
1. Faire corriger sa bibliographie, pour un article scientifique rigoureux
La relecture d’un article scientifique permet, comme toute relecture, de vérifier la qualité d’un écrit, principalement sur sa forme, pour que le fond des messages puisse arriver simplement au lecteur. Elle est en accord avec la rigueur exigée par l’écriture scientifique.
a. L’importance de l’écriture scientifique dans la Recherche
Pour un chercheur, l’écriture scientifique est une étape à maîtriser pour valoriser ses travaux. Si le cliché de l’opposition entre science et littérature a la vie dure, la publication d’un article scientifique vient prouver qu’il n’en est rien. Au pire, une aide à l’écriture, par exemple pour corriger sa bibliographie, est toutefois possible.
Dans tous travaux, la nécessité de les faire connaître passe par une communication, quelle qu’en soit la forme. Dans la Recherche, c’est l’exercice de l’article scientifique qui est le principal format utilisé, notamment dans les laboratoires publics, alors que les labos privés sont davantage friands de la publication des brevets, que je n’aborderai pas ici.
Pour un chercheur, la publication dans une revue représente un succès. Au point que la reconnaissance d’un chercheur passe souvent, de manière simpliste, par le nombre de publications qu’il a à son compteur. Cela dépend aussi beaucoup de la réputation de la revue où l’article paraît, qui s’appelle, dans le jargon, le « Facteur d’impact » (ou « Impact Factor » en anglais, parce que, dans la Recherche, l’anglais, c’est aussi important…). C’est sur ce « palmarès » de publication qu’un chercheur peut voir évoluer sa carrière, accéder à des postes, prétendre à l’encadrement d’autres chercheurs, etc.
D’où l’importance de la rigueur apportée à l’écrit, et celle des comités de lecture des revues, réputés exigeants.
Un article scientifique, à l’image des travaux effectués en amont, cela suit une méthode très précise… cartésienne et rigoureuse. En gros, il comporte :
un résumé, pour synthétiser en quelques lignes l’ensemble de l’expérience menée ;
une introduction, pour expliquer le contexte et les objectifs. Elle expose aussi souvent un état de l’art, en citant de multiples références qui constituent la bibliographie ;
un descriptif des matériels et méthodes utilisés, soit, globalement, le protocole de l’expérience réalisée ;
les résultats, avec des données qualitatives ou quantitatives, qui apportent une avancée scientifique significative ;
la discussion, qui interprète les résultats et offre des hypothèses et des perspectives ;
la conclusion, pour clore proprement l’article.
Si cette méthode est avérée, il n’en reste pas moins qu’il faut remplir lesdits paragraphes, de manière claire et synthétique.
b. Corriger sa bibliographie pour crédibiliser le travail
Pour que l’écriture scientifique soit rigoureuse jusqu’au bout, le fait de corriger sa bibliographie peut s’avérer nécessaire. Contacter un écrivain public permettra d’apporter un regard extérieur qui est souvent utile pour plus d’efficacité. En effet, à trop travailler sur un projet, on en perd l’objectivité au moment de la relecture d’un article scientifique.
Or, la bibliographie est une composante majeure de l’article, et est souvent vérifiée, jugée, et un bon indicateur de la qualité du travail fourni. Y a-t-il assez de références, de sources fiables ? Rappelons que ce travail bibliographique est la première étape, avant de monter sa propre expérience, pour savoir ce qui s’est déjà pratiqué, les résultats qui ont déjà été trouvés, et pour ainsi proposer un travail inédit. Aussi, ce travail doit s’appuyer sur l’existant, car la communauté scientifique est soudée pour faire avancer la connaissance. Ainsi, chacun apporte une pierre à l’édifice, sous la forme d’un article, qui sera ensuite cité comme référence dans les futurs travaux.
La bibliographie est donc le reflet de la crédibilité d’un travail scientifique, tant sur le fond, que sur la forme.
2. Faire corriger sa bibliographie selon un modèle prédéfini
La relecture d’un article scientifique, et notamment le fait de corriger sa bibliographie, est un travail pointu qui requiert rigueur et concentration. Une aide à l’écriture peut être la bienvenue pour vérifier le respect des conventions d’écriture.
a. La bibliographie respectueuse de l’écriture scientifique
L’écriture scientifique est par définition assez normalisée. On l’a vu sur la méthode, pour attester de la qualité de l’expérience réalisée, mais elle se doit aussi, sur la forme, de respecter une homogénéité qui sera appréciée des lecteurs. C’est pourquoi faire corriger sa bibliographie est une étape qui n’est pas toujours considérée, alors qu’elle peut être décisive dans la publication d’un article.
La bibliographie permet donc de citer les références qui ont permis de réaliser un travail donné. Pour cela, l’article doit aussi bien citer la référence dans le corps de texte, mais aussi faire l’objet d’un listing exhaustif, en fin d’article. Pour cela, chaque revue possède une manière spécifique de présenter la bibliographie, qu’il est nécessaire de respecter. Aucun écart n’est généralement permis, et, au-delà de l’application des règles stricto sensu, le but est aussi d’avoir un texte très homogène, pour faciliter la fluidité de lecture.
Certaines références sont parfois citées en tant que numéros dans le texte, qui sont ensuite repris et détaillés dans la liste finale. D’autres formes permettent de citer le premier auteur, voire les deux, ainsi que l’année de publication dans le corps de texte.
Dans la liste finale, des éléments sont généralement repris obligatoirement, mais peuvent varier sur la présentation. Comme mentions à respecter, on peut citer :
le nom des auteurs ;
l’année de publication ;
le titre de la source ;
l’éditeur ;
le numéro de page où se trouve l’information ;
le lien vers le site internet (s’il s’agit d’une référence numérique) et la date de consultation ;
etc.
Selon la forme, de petits détails peuvent varier. Mais ce sont bien eux qui sont importants à connaître. Faut-il citer le prénom des auteurs (si oui, simplement par l’initiale ou le prénom entier) ? Les auteurs sont-ils séparés par des virgules, des points-virgules ou autres ? L’année est-elle citée entre parenthèses, entre tirets ? Le titre est-il en italique, souligné ? Les abréviations sont-elles permises, obligatoires ? Bref, autant de points à vérifier et à rendre homogène dans tout le listing final.
Il existe sûrement autant de formes que de revues. Le tout est donc de bien se renseigner en amont, et, quand il s’agit de contacter un écrivain public, il faut bien lui transmettre les consignes précises pour qu’il sache comment faire la relecture d’un article scientifique donné.
Sachez toutefois qu’il existe aussi des logiciels, qui facilitent grandement l’édition de la bibliographie. Des logiciels tels que Endnote ou Zotero vous permettent d’enregistrer des formats adaptés à vos attentes, pour ensuite les intégrer automatiquement, au format désiré, dans votre logiciel de traitement de texte. Comme tout logiciel, cela mérite tout de même une vérification ultime, avant transmission aux revues scientifiques, mais ces outils sont très pratiques pour citer des dizaines de références en toute simplicité.
b. Corriger sa bibliographie selon les normes APA
À l’instar de l’écriture scientifique, la bibliographie se veut extrêmement rigoureuse, comme une garantie à la qualité du travail fourni, pour le bien commun de l’Humanité. D’où l’importance de faire corriger sa bibliographie, pour ne pas laisser de place à l’erreur ! Si de nombreuses présentations existent, une norme fait notamment foi dans le monde scientifique. Il s’agit des normes APA.
Ce format a été élaboré par l’American Psychological Association (d’où le sigle APA), et est décliné désormais dans de multiples publications. Pour les respecter, il faut tout d’abord savoir de quel type de référence on parle.
En effet, une bibliographie se veut homogène, mais elle comporte en son sein de nombreuses disparités, selon le type de source qui est cité. En effet, la présentation ne sera pas la même, selon que l’on cite :
un article scientifique ;
un livre ;
un périodique ;
un site internet ;
un extrait vidéo ;
un support de cours ;
d’un graphique ou autre illustration ;
etc.
Aussi, la citation va varier selon le nombre d’auteurs, le nombre d’éditeurs, le nombre de volumes s’il s’agit d’ouvrages d’une même collection, etc.
Ainsi, cette norme est extrêmement détaillée pour présenter tous les cas de figure possibles, et faire appliquer ses principes dans les textes qui se doivent de la respecter. Cela nécessite une vérification intensive pour identifier de quel type de source il s’agit, et si la forme de la citation est bien conforme à ce type. D’où l’importance de se faire accompagner et de bénéficier d’un regard aiguisé.
3. Contacter un écrivain public professionnel
Pour faciliter la relecture d’un article scientifique, et optimiser les chances de publication, une aide à l’écriture est toujours possible.
Si un travail de synthèse, de reformulation peut être demandé, contacter un écrivain public permettra de finaliser l’article, le peaufiner, pour vérifier sa cohérence, sa compréhension, sa lisibilité ou encore l’homogénéité des références citées.
a. Une aide à l’écriture adaptée à l’écriture scientifique
Si contacter un écrivain public peut se révéler utile pour de nombreuses prestations, comme l’écriture d’une biographie, d’un discours, ou de tout autre travail exigé par une entreprise par exemple, la relecture d’un article scientifique est aussi dans ses cordes. Il pourra notamment corriger sa bibliographie, conformément à la forme retenue et exigée.
En effet, comme on l’a vu, générer une bibliographie demande à respecter de nombreux détails, pour respecter les normes établies sur des sujets aussi précis que la ponctuation, l’espacement, tout cela variant selon le type de sources. Cela peut vite s’avérer complexe, fastidieux, et parfois à se demander l’intérêt.
Mais, vous savez quoi ? Vérifier le respect d’une virgule, la place d’un point, la cohérence de tout un listing de citations… le relecteur professionnel adore ça ! C’est son métier, sa passion et il est formé à cette rigueur attendue dans d’autres cadres, comme l’édition d’un ouvrage. Car, pour ce type de travail, c’est bien un esprit cartésien qui est attendu, car il n’y a pas de place à l’improvisation. Il ne s’agit pas d’un travail littéraire à proprement parler, auquel peut aussi être sensible l’écrivain public, mais plutôt d’une approche scientifique pointue à laquelle le correcteur professionnel est pleinement apte.
b. Comment contacter un écrivain public pour corriger sa bibliographie ?
Pour contacter un écrivain public, formé à la relecture professionnelle, plusieurs adresses sont à connaître. Cela vous donnera une occasion de bénéficier d’une aide à l’écriture ainsi qu’à la relecture d’un article scientifique dont vous seriez l’auteur.
Pour cela, des annuaires en ligne existent, comme, par exemple :
Vous disposez ainsi de nombreuses compétences répertoriées sur ces sites, pour trouver votre collaborateur en la matière.
On le voit donc : écrire un article scientifique et établir une bibliographie conforme aux attentes des éditeurs n’est pas une mince affaire. Pourtant, c’est un enjeu crucial dans le monde de la Recherche. Alors, pourquoi ne pas vous faire accompagner par un professionnel de l’écrit ?
Vous avez besoin d’une aide à l’écriture, quelle qu’elle soit ? Votre écrivain public peut vous accompagner dans votre projet, en toute simplicité…
Crédits photos : Images par Gordon Johnson et misterfarmer de Pixabay
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